Pelargonium echinatum
- HORT'IS VIRIDIOS (R)
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8.50 €
Description
A l’état spontané c’est un arbuste avec des tiges et racines épaisses ; à ramification verticale aromatique très ramifié, atteignant 50cm à 1m de hauteur. En culture il est habituellement plus petit car sa croissance est lente. Les branches deviennent ligneuses et sont glanduleuses. Les feuilles plumeuses d'un vert grisâtre sont agréablement parfumées. Les feuilles mesurent 5-17 mm de longueur et 5-19 mm de largeur et varient considérablement dans leur structure. Elles sont subdivisées en trois ou cinq segments.
Les inflorescences portent des pédoncules avec de 1à 5 fleurs à 5 pétales de couleurs qui varient du blanc au rose ou mauve avec des petites macules rouges ou violettes.
Les pétales inférieurs plus petits, sont généralement non marqués.
Végétoscope : La forme cultivée typique de P. echinatum connue depuis plus de 200 ans possède une ou deux fleurs blanches sur chaque pédoncule. Elle est parfois connue par le nom commun, de pélargonium chéri en raison des taches rouges en forme de cœur sur les pétales, et, à tort, par le nom de P. echinatum 'Album'
Il semblerait que 'Miss Stapleton' (photo ci contre de l’article) ait des fleurs rose-violettes brillantes sur chaque pétale et des épines plus droites plus longues. (Sweet). C’est le seul hybride de l'espèce nommée qui reste aujourd’hui. Pendant de nombreuses années, on a pensé qu’il s’agissait d’une forme de P. echinatum ou d’un hybride de La pépinière de Colvill qui a fleuri pour la première fois en 1823 et porte le nom de Miss C. Stapleton. « dame très attachée au Géraniacées ».
Caractéristiques
Se trouve à l’état spontané sur une assez grande superficie de la province du Cap, en biotope sec avec des paysages souvent rocheux et dans des zones où les précipitations sont principalement hivernales. Il croit et se développe sur un sol sec, souvent à l’abri de roches ou de plantes plus grandes dans les régions du nord-ouest de la province du Cap.
Dans la nature. P. echinatum a des fleurs de couleurs variables, et beaucoup de plantes décrites et illustrées comme nouvelles espèces ou hybrides dans les premiers livres sur le genre peuvent simplement être des variations de l’espèce. Dans certains catalogues précoces. Huit formes différentes ont été énumérées.
Processus de production : Doit être adapté vis à vis du biotope d'origine. Plants multipliés par bouturage en Eté-Automne précédent ou en Automne N-1 suivant la disponibilité des plants à la commercialisation. Possibilité de semis fin du printemps avec conditions adaptées à l'espèce. 1 à 2 pincements peuvent être réalisés durant la culture suivant la morphologie du végétal avec un empotage en substrat adapté suivant la spécificité botanique ou horticole du végétal. L'utilisation de terreau et de pouzzolane fine ou de sable grossier est possible à gérer proportionnellement à la taille du plant.
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Pélargonium qui se multiplie par boutures de rameaux et tronçon de tige en été- automne. Tolère une fertilisation à faible conductivité de 0,5 mS/cm. Préfère un biotope sec et lumineux avec une faible hygrométrie. Peut être cultivé sous le concept bonsaï.
Utilisation : En potée fleurie (faible développement la 1ère année de culture) valorisée avec poterie terre cuite. Pélargonium de collection unique à valoriser en isolé ou en cépée en pot pour plus de volume.
Un spécimen à fleurs blanches a été collecté pour la première fois par F. Masson pour Kew en 1789 et, contrairement à beaucoup d’autres, il est resté cultivé depuis. Cela est probablement dû au fait que cet exemplaire n’a pas autant d'exigences culturales que certains autres membres de la section.
